aloysialyssaewinter

Did really carry me when I was asleep ? Did you try to defend me when I was weak ? Did you pick me up that lonely night, when the lights died out and I turned to the grey side ?

NOM : winter ☍ PRÉNOM(S) : aloysia lyssae. ☍ ÂGE : 24 ans. ☍ DATE ET LIEU DE NAISSANCE : ste mangouste, le 17 Mai. ☍ ORIGINES : british. ☍ JOB/ÉTUDES : employée au service de coopération international magique. ☍ SITUATION : célibataire. BAGUETTE : bois de cerisier, barbe de farfadet, 34cm, souple.. ☍ PATRONUS : koala. ☍ EPOUVANTARD: un clown. ☍ GROUPE: everything is magic.

☍ enreprenante☍ franche☍ maternelle☍ loyale

☍ temeraire☍ impatiente☍ têtue☍ menteuse

☍ Que représente Eaglesfield District pour vous ? j'ai démenagé dans cet endroit à mes 14 ans, quand Jorgen est parti de la maison. C'est plutôt sympa, enfin j'aime bien, mais je passe mon temps à londres donc je n'ai pas vraiment le temps de tout détailler en général.
☍ Comment avez vous réagit lorsque vous avez apprit que le Premier Ministre moldu a révélé l'existence de la communauté magique ? Je me suis dis que c'était sympa, on allait pouvoir parler plus souvent avec les moldus, et en découvrir plus sur leur monde fabuleux (j'ai fait études des moldus). Sauf qu'au final, ça c'est pas vraiment passé comme ça. Et je trouve ça totalement dommage parce qu'il n'y aura personne pour m'expliquer comment marche mon téléphone portable.
☍ L'Organisation découvre que vous êtes un sorcier, que faites-vous ? Je ne sais pas. Je suis dans une situation compliqué étant donné qu'une personne de l'organisation connait mon identité. Mais elle ne me dénoncera pas. C'est ma soeur, c'est mon sang. Elle ne le fera pas couler, non, elle ne me tuera pas. Je ne sais pas ce que je ferais, mais tout ce que je sais c'est que je ne tuerais personne. Ce sont juste des personnes malheureuses qui en font parti. Et puis, je ne suis pas non plus gryffondor, légèrement téméraire, oui, mais je ne vais pas me jeter dans la gueule de l'hypogriffe !
☍ Quelles sont vos habitudes, vos manies ? Ont-elles changé suite à l'annonce ? elle a un téléphone portable, et a beaucoup de mal à s'en servir - gamine, elle jetait un sort à ses ongles pour qu'ils s'imprègnent d'un gout vomitif afin d'arrêter de les manger. Ca a marché. - elle est allergique au tomates - petite, elle voulait devenir un farfadet pour être entourée d'or - elle ne veut pas se marier, ca, jamais ! - elle ne supporte pas l'odeur des crochiboux - la première fois qu'elle est montée dans une voiture, elle a cassé le bouton warning - elle a beaucoup de respect pour le directeur de la coopération magique - elle porte toujours un camée à son annulaire droit - il lui vient de sa grand mère - c'est un grand secret, mais c'est une droguée de sexe - elle a une passion pour les kiwis, elle se sent mal s'il n'y a plus de kiwis dans son panier à fruits - cette obsession effraye un peu ses copains passagers.

pseudonyme/prénom : landfill heart./clémence. ☍ âge : 17 ans. ☍ fréquence de connexion : 6/7. ☍ célébrité : emilyjolie.. ☍ double compte ? nop'. ☍ crédits images : tumblr. ☍ comment as-tu connu le forum ? bazzart. ☍ tes premières impressions ? canon. ☍ code règlement : validé par Laeti . ☍ un dernier mot ? : elle venait à l'entournure de mes yeux lecher chaque instant de mon futur..

Citation :

Un carton dans les mains, je regardais Anwton avec un sourire. Il parlait avec le propriétaire de l'appartement et tentait de s'expliquer sur l'arrivée expéditive de nos affaires. Il ne s'enervait pas, ne balbutiait pas, il était naturel dans tous ses dires. Il était beau, il était drôle quand il me regardait avec ce sourire en coin. Après avoir montré le permis de transplanage en règle, mon amoureux se précipita vers moi, avec un énorme sourire. Je lui volais un baiser. Doux, chaste, ressemblant au premier que nous avions échangé. Facile de m'en souvenir, c'était devant la porte de la maison de mes parents. Après notre premier vrai rendez-vous. Nous étions allés dans un restaurant italien moldu, et le rendez-vous s'était passé comme dans un rêve. C'est ainsi qu'a commencé notre histoire d'amour. J'en avais bavé pour lui parler. Mais un jour j'ai pris mon courage à deux mains et je me suis adressé à lui. Alors, j'ai commencé à user de mon charme pour lui plaire. Et ça a fonctionné. Ce dernier me ramena à ma réalité lorsqu'il prit le carton que je tenais dans mes mains. Je soupirais doucement avant de râler un bon coup, je pouvais porter un carton sans me briser un poignet ! Il se rendit dans la chambre, et posa le carton sur notre lit. J'adorais dire cela: notre. C'était nous, et plus, je dors chez toi alors qu'il y a ta famille pas loin, non, c'était notre maison. Notre petit bout de vie commune. La première chose qu'il fit, c'est sortir nos photos préférés pour les poser sur la commode: Lui en uniforme de quidditch, entouré de ses amis les plus proches, nous, lors de nos vacances en France... Je me sentais parfaitement bien de voir ces pièces du puzzle qu'est notre vie rassemblées ici. Mon copain se posa derrière moi, les mains sur mes hanches. Ysia... Je dois t'avouer quelque chose... Voilà, je voudrais te remercier pour tout ce que tu m'as fait découvrir et particulièrement une chose... Je m'en veux de te le dire que maintenant, mais voilà... Je suis gay. J'ai découvert ça grâce à toi et je t'en remercie parce que c'est vraiment moi. Et le garçon avec qui je parlais était mon amant. Donc tes affaires sont encore dans le camion, j'ai donné l'adresse de chez toi... Tu vas me manquer, Aloysia, j'espère qu'on restera ami... J'avoue que c'est la plus grosse claque que j'ai recu dans ma vie.

A peine je passais le pas de la porte, je m'étalais de tout mon long sur des valises et autre cartons en tout genre. Ainsi, j'évitais un morceau de vase qui jonchait à côté de ma tête. Les cris qui sortaient de la maison me firent peur, si bien que je sortais ma baguette pour prevenir. Mais à peine j'entrais que Zola s'empara du bout de bois et le brisait en deux. Vous ne comprenez pas ce que je subis en étant sans pouvoir magique ! On se joue de moi parce que je ne suis pas comme vous ! Je regardais ma soeur dont j'étais si proche avec tristesse. Elle semblait si désemparée, je savais qu'elle avait eu rendez-vous avec un sorcier le matin même. Apparemment, elle ne m'avait pas écouté, et il s'était joué d'elle. J'eu mal au coeur. Lexie lui sauta dessus et la secoua: Tu as brisé sa baguette, mais t'es malade ma parole ! Je tentais de les séparer alors que nos parents semblaient terrifiés. Devant eux se détruisaient leur petit monde parfait. On peut m'expliquer pourquoi tout le monde hurle ? Et Alessandra lança cette phrase comme une bombe nucléaire: Je fais partie de la ligue. Ils ont tué Billie. Tout ce mit en place dans mon cerveau. Lexie dans la ligue, Zola dans l'organisation. Notre famille était détruite. Nous étions tous très différent. Lexie était une Serdaigle, particulièrement logique et douée, elle était briseuse de sorts à Gringotts, Jayden, avait préféré serpentard, et il était devenu archéologue sorcier, si bien qu'il se trouvait actuellement en amérique du sud, et Henry, Gryffondor dont j'étais particulièrement proche, était joueur de Quidditch. Moi, j'avais choisi Poufsouffle et mon travail au sein de la coopération magique internationale m'avait donné bien des difficultés depuis l'annonce. Zola, elle, était marginal. Henry et moi avions toujours été proche d'elle. Elle travaillait dans le monde moldu, au ministère en tant que secretaire. Son travail la ravissait, et elle me remerciait chaque jour de l'avoir doucement pistonné lors de l'annonce. Les garçons étaient loin, et nous, les trois filles, restâmes un temps chez nos parents. Je comptais déménager avec Zola dans un futur proche. Alessandra était bien trop solitaire pour nous. Lexie et Zola se tournèrent vers moi et me demandèrent si je comptais soutenir l'une ou l'autre. C'était terrible. Je ne veux pas tuer d'humains. Et je ne veux pas que vous tuiez des humains. Je pense qu'on peut vivre ensemble. J'attrapais leurs mains et les serraient contre les miennes. C'est trop tard pour ça. Lexie retira ses mains et se transplana. Zola me tournait le dos, et parti avec ses valises quelques minutes plus tard. Je me tournais vers mes parents, serrés l'un contre l'autre. J'avais perdu mes deux soeurs, mes deux frères étaient au loin et ma baguette était cassée. Super journée.