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 Alph' ϟ No one wins. One side just loses more slowly

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Alpheratz Everett
Alpheratz Everett
messages : 1
credits : Moses & Tumblr
job : Auror


Alph' ϟ No one wins. One side just loses more slowly Empty
MessageSujet: Alph' ϟ No one wins. One side just loses more slowly   Alph' ϟ No one wins. One side just loses more slowly EmptySam 28 Juil - 22:56


AlpheratzLexingtonEverett
« To protect the sheep you gotta catch the wolf, and it takes a wolf to catch a wolf »
NOM : Everett PRÉNOM(S) : Alpheratz, Lexington. ☍ ÂGE : 33 ans. ☍ DATE ET LIEU DE NAISSANCE : 13 juin 1979 @ Londres, GB. ☍ ORIGINES : So British. ☍ JOB/ÉTUDES : Auror. ☍ SITUATION : Divorcé. BAGUETTE : Bois de Chêne, Crin de licorne, 31,3 cm. ☍ PATRONUS : TBD. ☍ EPOUVANTARD: TBD. ☍ GROUPE: everything is magic.
Quelques Questions
Un minimum de 5 lignes par réponse te sont demandées.

Que représente Eaglesfield District pour vous ? Beaucoup de souvenirs. Des bons, des très bons même… Et des mauvais aussi. Il a vécu ici d’impérissables années mariage avec son ex-femme qui étaient capables d’apparenter cet endroit à un petit paradis après les affres de la guerre, avant de redouter d’y revenir chaque soir lorsque les choses se sont gâtées et que leurs draps sont devenus aussi froids que la glace. Aujourd’hui, il est soumis à une injonction de justice lui interdisant de s’approcher à moins de dix mètres du toit où elle vit toujours après son départ forcé et ne retourne vraiment dans ce quartier que pour veiller de loin à ce qu’elle soit en sécurité ou encore pour passer chercher Elyott.
Comment avez vous réagit lorsque vous avez apprit que le Premier Ministre moldu a révélé l'existence de la communauté magique ? Il a été surpris, sans être particulièrement désarçonné ni même inquiété par ce bouleversement. Alph’ a toujours eu l’intime conviction que c’était de toute façon inévitable, qu’un jour ou l’autre, les moldus finiraient par ouvrir les yeux et prendre conscience de leur existence après tant de siècles passés dans l’ombre. Il s’y attendait à vrai dire, peut-être pas si tôt, peut-être pas de cette façon, pas même peut-être de son vivant, mais en grand réaliste pragmatique, il savait que ce jour allait arriver et que le monde sorcier destiné à rester incompris des moldus serait alors vu comme une dangereuse menace pour le leur.
L'Organisation découvre que vous êtes un sorcier, que faites-vous ? Il a un moment pensé à faire la même chose qu’un certain king de la pop défunt en son temps, mais passé la digestion délirante de cette fameuse nuit d’ivresse, il s’est finalement rappelé à ses importants pouvoirs de sorcier et ne craint au final pas du tout cette perspective. Il l’envisage, l’espère même, si cette bande de terroristes moldus continue ces bêtises, Alph’ est destiné à faire un jour ou l’autre leur rencontre pour défendre les siens et à faire des chasseurs les proies. Il les attend en somme... S'ils ont commencé cette guerre, le ministère la terminera.
Quelles sont vos habitudes, vos manies ? Ont-elles changé suite à l'annonce ? ◮ Il porte occasionnellement des lunettes de vue pour lire ou pour réfléchir mais regarde tout et tout le monde par-dessus ◮ Il lit d’ailleurs le journal tous les jours, bien qu’il ne prenne aucune ligne au sérieux et est convaincu qu’il ne s’agit que de propagande. Plus sérieusement, il évalue à environ trois cent le nombre d’ouvrages magiques & moldus confondus qu’il a déjà lu. Sa bibliothèque personnelle est d’ailleurs aussi colossale qu’impressionnante. ◮ Il a pour incessante manie de joindre ses mains derrière son dos lorsqu’il marche ou est à l’arrêt debout ◮ Passe une main sur le haut de son crâne ou le fin bouc toujours parfaitement entretenu et soigné qui lui entoure les lèvres lorsqu’une contrariété s’impose à lui. ◮ Il a l’irrémédiable manie de passer furtivement sa langue entre ses lèvres lorsque ses phrases ou ses échanges deviennent trop longs ◮ Il a toujours aimer marcher seul la pluie et est un habitué des pubs de sorciers. ◮ Taille du XL et ne se sape que dans un seul magasin de grande couture sur le chemin de traverse.
Anecdotes

Septembre 2003
Cinq ans se sont déjà écoulés depuis la terrible guerre qui a mis un terme à la terreur du tristement célèbre mage noir et de ses partisans contre lesquels il s’est battu, en a emprisonné et parfois tué un bon nombre pour défendre les précieuses valeurs de liberté auxquelles il croit. La plus terrible mais aussi sans aucun doute la meilleure formation au métier d’auror auquel il se voue depuis les bancs de Poudlard. Le monde sorcier est aujourd’hui en paix... Son ménage, lui, est en guerre. Depuis quelques temps, les missions que lui confie Kingsley accaparent son temps, le tiennent éloigné du toit conjugal et de celle qu’il a pris pour épouse sitôt leur scolarité à Gryffondor terminée comme elle a commencée : Ensemble. Un mot dont la définition leur semble à présent bien étrangère. Ses rares moments, ses rares nuits auprès de Filomène, il les passe dans le chaos de disputes à répétition et des reproches liés à son absence chronique. Ils se déchirent autant qu’ils s’aiment, se querellent avec autant d’ardeur qu’ils ne se retrouvent… Jusqu’à la prochaine fois. Jusqu’à cette fois, cette soirée où il rentre après une nouvelle semaine à n’être qu’un mari fantôme au service d’une communauté qu’il s’est juré de protéger comme il s’est juré de la chérir. « Bébé ? Bébé c’est moi, j’suis là. » glisse-t-il sitôt la porte ouverte et le perron passé avant de la refermer derrière lui dans le déclic du verrou comblant le silence des lieux. Elle est bien là… Un couvert est déjà dressé sur la table. Un seul : le sien. Témoin qu’elle s’apprêtait à dîner à nouveau seule.

Continuant d’avancer lentement en faisant passer le cuir de sa veste autour de ses larges épaules avant de la laisser tomber sur le dossier d’une chaise, il la découvre enfin dans la cuisine en train de préparer l’un de ses plats dont elle ne soupçonne pas à quel point son parfum lui manque. Mais pas autant que cela… Un baiser... Un tendre baiser déposé contre la pulpe de ses lèvres par sa grande silhouette pliée pour imprégner les siennes de leur saveur… Amer. Elle n’y répond pas. Impassible, indifférente. Ses paupières closes le temps de l’illusion se rouvrent au moment où il s’en défait dans un sentiment de malaise et redresse son buste au dessus du sien. « "Hey Alph’ chéri, je suis contente que tu sois là, tu m’as manqué tu sais..." » mime-t-il comme une caricature de ce qu’il aurait espéré trouvé et entendre ce soir en rentrant, un sourire espiègle aux lèvres qui se veut complice et propice à détendre l’atmosphère chargée d’électricité autour d’eux. « Il y a longtemps que tu n’es plus là… Même quand tu es là. » souffle-t-elle froidement en se détournant de lui pour retourner à sa cuisine, dos à lui. Son torse se gonfle d’une grande inspiration bloquant un profond soupire de s’échapper de ses narines face à la nouvelle allusion empli de reproche qui vient de claquer de ses lèvres. Il ne sait plus comment justifier sa mission, son devoir. Il ne sait plus comment lui faire comprendre que ses absences lui sont tout aussi pénibles que nécessaires pour œuvrer à l’ordre du monde dans lequel il compte fonder leur famille et élever leurs enfants futurs. Désarmé, il ne réplique rien, prend quelques secondes à faire la part des choses avant de rompre la nouvelle distance dont elle cette fois la créatrice et se rapprocher lentement d’elle.

Ses pas résonnent religieusement et l’amènent jusqu’à son dos contre lequel le volume des muscles de son torse vient doucement plaquer sa chaleur et l’épouse à merveille. Ses mains glissent autour de sa taille et enveloppent ses bras telles des lianes protectrices autour de son corps, passant devant elle en nivelant sur son ventre où elles se croisent et se posent enfin pour renforcer sa douce étreinte. « J’ai pas envie qu’on se fâche... Pas ce soir… » souffle son visage perché au dessus de son épaule à côté du sien avant de délicatement coller sa tempe à la sienne. Las de ces mêmes débats, de ces disputes stériles, il a simplement envie de profiter d’une soirée avec sa femme. Simplement envie d’elle… L’escale de ses mains contre son ventre reprend bientôt une même lente et irrésistible balade autour de ses hanches, descendant lascivement le long de celles-ci jusqu’à ses cuisses où elles terminent par se crisper doucement en poings fermés, renfermant le tissu de sa robe à l’intérieur de ses paumes. Elles remontent ensemble, suivant le même trajet inverse en rehaussant sous leur sensuel passage le vêtement qu’elles froissent jusqu’à sa taille alors que la montée en température devient de plus en plus palpable dans le jeu de leurs visages. Sa nuque s’arque contre son épaule comme sur un repose-tête, son visage se lève doucement vers le haut, offrant son cou en pâture à ses baisers entrecoupés de brulants souffles plus prononcés puis se tourne légèrement sur le côté vers le sien pour permettre à leurs lèvres de se retrouver dans un échange plus avide, plus anarchique – presque salace. Leurs corps s'abandonnent, se laissent gagner par le désir, atteignent un degré d’ébullition alors étouffé de manière incompréhensible dans la passion de leur baiser lorsqu’elle le rompt subitement et annihile leur amalgame.

« Arrête... » lui souffle-t-elle comme si elle n’y croit pourtant pas. Lui croit en une vraie-fausse ultime bribe de fierté qui surgit instinctivement pour ne pas céder si facilement et marquer le fait qu’elle lui en veut et n’arrête rien de ses caresses inquisitrices dont l’aventure se faufile bientôt entre ses cuisses sous le dernier barrage de tissu faisant obstacle à la cible de ses convoitises. « Alph’ arrête ! » finit-elle par répéter cette fois avec une conviction qui ne lui laisse plus aucun doute. Elle se retourne brusquement pour lui faire face, réarrange les plis de sa jupe qu’elle redescend puis les mèches de ses cheveux en les replaçant plus correctement, visiblement confuse de ce soudain revirement. Face à elle, il reste complètement incrédule. « Tu… Tu crois qu’il te suffit de revenir comme ça, comme une fleur pour que tout s’arrange ?! » - « Qu... Quoi ?! Mais putain c’est quoi ces conneries, ça veut dire quoi ça ?! » - « Monsieur ne revient que pour satisfaire ses pulsions de mâle et vient réclamer réclamer ses droits sans assumer ses devoirs » - « Mais ! Arrête, t’as perdu la tête ! J’ai plus le droit de vouloir faire l’amour à ma femme ? C’est quoi le problème ?! » La joute verbale est lancé. Les répliques fusent et se font plus cinglantes, renforçant les traits froncés de ses sourcils passablement énervés par le discours délirant qu’elle lui prétexte. « Le problème ? Le problème justement c’est qu’on ne fait plus l’amour, on baise. Pour faire l’amour, il faudrait encore que les draps dans lesquels je me couche seule la nuit soient moins froids que la banquise ! » - « Mais c’est quoi ça ? J’ai pas eu l’impression que ça te dérangeait vraiment quand c’est toi qui me sautait dessus sur mon bureau y a même pas une semaine. » Elle a raison, et lui aussi. S’il n’y a bien qu’une chose qui ne s’est jamais effrité entre eux, c’est le sexe. Tout le reste, leur complicité, leur tendresse, leurs mots semblent avoir foutu le camp pour se noyer dans un océan de rancoeurs. .

« Je vois quelqu’un d’autre ! » *CRIC CRIC BAM* Elle lâche ça avec toute la violence d’une bombe atomique dévastant tout un monde pour achever une bataille. Stupéfait, pétrifié même, il reste sans voix, paralysé par ce qu’elle vient de lui lancer comme s’il refusait d’y croire… Son mutisme, son regard fuyant à présent le sien termine de l’abattre de certitude et lui font maintenant comprendre les raison de son comportement? « Qu… Quoi ? » peine-t-il à articuler, complètement meurtri de l’intérieur. Si ses yeux embués d’un condensé de détresse et de colère retiennent leurs larmes, ceux de Filomène les laissent couler la première comme si c’était elle la victime. « Je… Enfin qu’est-ce que tu croyais ? Tu n’as pas idée de ce à quoi ressemble ma vie, jour après jour, soir après soir à attendre que tu rentres ! » éclate-t-elle en sanglots. Culpabilité ou douleur confondus, celle qui lui lancine le cœur finit par avoir raison de l’homme naturellement calme et tempéré qu’il est pour laisser exploser la bête sauvage et blessée qui fulmine en lui. Son bras s’arme et déclenche un violemment coup qui fuse sèchement dans l’une des hautes étagères à sa hauteur et encastre les phalanges de son poing fermé dans le bois éclaté sous la pression du choc. Envenimé par sa rage, un revers part dans la foulée et renverse la casserole de son plat avant de poursuivre la violence brute de son déchaînement de coups dans le reste des meubles et étagères à portée de poings autour de lui. Sa fureur ne dure que quelques secondes d'une intensité explosive folle, mais elle suffit à mettre toute la cuisine sans dessous dessus et à finir par lui donner des airs de champs de bataille. « Comment t'as pu faire ça ?! » vocifère sourdement sa voix rauque comme un cris de douleur qui ne réussit qu’à faire sursauter ses frêles épaules aussi désolées qu’effrayées. Il part. Il part de cette pièce. Il part de cette maison. Vite. Loin. Le plus loin possible pour pleurer seul, caché et essayer de trouver de quoi panser la plaie béante qui lui ouvre la poitrine.

La distance qu’il prend ce soir là et les suivants finira par le convaincre qu’il se trouve face à une épreuve que l’amour viscéral qu’il lui porte est capable de surmonter. Il finira par lui pardonner… Elle pas. Si elle regrette de tout son coeur avoir eu la faiblesse de l’avoir trahi et trompé, sa faute lui a enseigné qu’il ne porte plus assez de sentiments à son égard pour continuer de vivre à ses côtés dans cette vie. Quelques semaines plus tard, il reçoit au ministère sa demande de divorce et résistera de longs mois avant de se résigner à la signer lorsqu’elle lui assurera qu’elle ne l’aime plus. S’il n’espère plus la reconquérir, lui l’aime toujours. Aujourd’hui encore, neuf ans après leur séparation, il porte toujours son alliance et continue de veiller sur elle à distance depuis qu’elle l’a poursuivi après d’intempestives visites lorsque de dangereux criminels ont menacés de s’en prendre à tout ce qu’il avait de plus cher pour l’atteindre.





Derrière l'écran

pseudonyme/prénom : Moses. ☍ âge : 23. ☍ fréquence de connexion : 6/7. ☍ célébrité : Idris Elba. ☍ double compte ? Non. ☍ crédits images : tumblr. ☍ comment as-tu connu le forum ? bonne question... Je ne m'en rappelle plus. ☍ tes premières impressions ? J'suis amoureux Alph' ϟ No one wins. One side just loses more slowly 388342071 . ☍ code règlement : smell you alive. ☍ un dernier mot ? : Bonne lecture ! Alph' ϟ No one wins. One side just loses more slowly 3971413892 .
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